Le Premier ministre israélien a déclaré que ses interlocuteurs de l'Autorité palestinienne avaient formulé plusieurs requêtes, parmi lesquelles la fin des liquidations ciblées, l'ouverture des routes et l'allègement des bouclages, la liberté de mouvement pour Arafat et l'arrêt des incursions en zone A ou contre des cibles de l'Autorité palestinienne.
Le Premier ministre Sharon a répondu qu'ils pouvaient empêcher les liquidations ciblées d'Israël en empêchant l'action des terroristes. Concernant l'ouverture des routes, le Premier ministre a rappelé que, malheureusement, après chaque allègement des bouclages étaient perpétrés des actes de terrorisme. C'est pourquoi l'objectif d'Israël est d'établir une distinction entre les terroristes et la population qui n'est pas impliquée dans le terrorisme. En ce qui concerne M.Arafat, M Sharon a affirmé qu'il devrait arrêter les assassins du ministre Rechavam Zeevy et leurs commanditaires, ainsi qu'arrêter les responsables du Karine A.
Concernant la cessation des incursions en zone A ou contre des cibles de l'Autorité palestinienne, M. Sharon a déclaré que cela dépendrait de l'Autorité palestinienne. Il a répété qu'aucun sujet diplomatique n'avait été soulevé durant la rencontre.
- Encore une grossière dénigration du journal "Libération" à l'encontre d'Israël :
"Castration"
Une nouvelle fois, le même procédé: on parle d'autre chose, puis on insère, de manière nonchalante, une grossière dénigration à l'encontre d'Israël, puis on revient à autre chose et on continue comme si de rien n'était. Et cette petite infamie concernant Israël? Ce n'est même pas la peine d'indiquer une référence ou d'apporte un début de preuve, puisque tout le monde sait que les Israéliens sont capables de cela, comme de tout d'ailleurs, et de toute façon nous parlions d'autre chose, n'est ce pas?
Dernier exemple en date: un article sur l'extrême droite hongroise dans Libération (01 février 2002 ), ou l'on s'informe en passant "qu'un journal isrélien a fait appel à des volontaires juifs à castrer des prisonniers arabes"...
Qui? Quand? Comment? Inutile de dire que c'est entièrement faux. Inutile, puisque l'impression restera, renforcée par le lien textuel aux affres de l'extrême droite (hongroise quand même, rappelons le).
Voici l'article en question:
Les compromis extrémistes de la droite hongroise
Le pouvoir tente de rafler des voix ultras en vue des législatives.
Par Florence BRUYERE
Le vendredi 01 février 2002
Budapest, de notre correspondante - Istvan Lovas, éditorialiste connu pour ses positions d'extrême droite, a une méthode toute trouvée pour faire taire les journalistes étrangers qui critiquent la Hongrie. «Pourquoi pas... une petite castration?», lance-t-il sur la chaîne câblée Magyar ATV, un vendredi soir à l'heure du prime time, sur le ton de la plaisanterie. La «blague» fait référence à un journal israélien qui a publié l'appel de volontaires juifs à castrer des prisonniers arabes. Elucubrations d'un plumitif au service d'une extrême droite marginale? Rien de moins sûr, car Istvan Lovas a tribune libre dans le Magyar Nemzet, quotidien très progouvernemental. Il y a multiplié les attaques ces dernières semaines contre la presse étrangère, sur un ton xénophobe et parfois antisémite. (...)
Article complet:
http://www.liberation.fr/quotidien/semaine/020201-010010117MOND.html
- France-Israël
Il est temps de changer de politique
Séfi Hendler, Paris (Maariv) - traduit par le service de presse de l'Ambassade de France en Israël.
Les Français veulent avoir de linfluence au Moyen-Orient ; mais ils restent enlisés dans une attitude obsolète et unilatérale
Nous ne sommes pas sur la même longueur dondes , disait il y a quelques jours le ministre français des Affaires étrangères, Hubert Védrine. Cette fois, il ne parlait pas des rapports entre Paris et Jérusalem, mais entre Paris et Washington. Bien plus que dans nimporte quelle autre capitale européenne, on a eu beaucoup de mal à Paris à digérer le changement très voyant de la politique des Etats-Unis à légard dArafat. Les Français ne sattendaient pas à ce que Bush, Cheney et Powell fassent des déclarations tellement dures contre le chef palestinien assigné à résidence à Ramallah.
Mais après un choc passager, les Français ont enregistré un succès : Paris est parvenu à mobiliser l Union européenne pour un affrontement avec les Etats-Unis. Après un débat qui na pas été simple, les ministres des A.E. des Quinze réunis à Bruxelles ont publié la semaine dernière une déclaration soutenant lAutorité palestinienne et Arafat. Les fuites qui ont filtré disent que tout le monde na pas souscrit à la ligne de Védrine : les Belges et les Espagnols étaient pour. Les Britanniques et les Allemands ont dit que ce serait plus intelligent de ne rien publier, dattendre et de voir. Mais la ligne française la emporté, les Européens se sont rangés derrière Abou Amar.
Shimon Pérès et Avraham Burg ont mis les Européens en garde contre une rupture avec Washington. De son côté, Védrine brandit la déclaration européenne et affirme que lunilatéralisme des Américains nuit à leur rôle d honnête courtier . Il y a lieu de rappeler ici à quel point les Européens en général, et les Français en particulier, sont considérés à Jérusalem comme dhonnêtes courtiers. Même si nous leur montrons des photos dArafat porteur dune ceinture dexplosifs, en train de se faire exploser -- ils continueront de le soutenir , dit un diplomate israélien de haut rang en poste en Europe.
En se rangeant derrière Arafat, la diplomatie européenne suscite des interrogations sur ses capacités à sadapter aux changements intervenus sur la carte du monde
Mais un changement de politique est un gros mot à Paris. Le monde est peut-être plus orageux que jamais, mais les positions de la France restent immuables comme le roc.
Védrine ne cesse de répéter comment la France de François Mitterrand fut le premier pays occidental à reconnaître lOLP et Yasser Arafat. Ce ministre des Affaires étrangères oublie que Mitterrand ne se permit demprunter cette voie quaprès avoir fait un geste damitié véritable envers Israël. Le Président socialiste fut le premier chef dEtat européen à venir en visite officielle en Israël (depuis la création de lEtat), mettant ainsi un terme au boycott officiel des dirigeants européens vis-à-vis de lEtat juif.
Soulignons en passant que Védrine était aux côtés du Premier ministre français Lionel Jospin, il y a 2 ans, lors de la célèbre visite de celui-ci en Israël. Ceci, quand Jospin déclara que le Hezbollah était un mouvement terroriste (et reçut alors une pluie de pierres à Bir Zeit). Selon les comptes rendus, Védrine pâlit et souffla précipitamment à loreille de son Premier ministre quil y avait là un changement de la ligne traditionnelle de son pays. Il vaudrait peut-être mieux pour les Français quils cessent de redouter un changement de politique, à tout prix. Sans quoi ils seront de nouveau condamnés à regarder dun il triste lAmérique unilatérale rester le véritable patron au Moyen-Orient.
- Les Etats-Unis ont repoussé une initiative européenne de conférence internationale pour la paix
Aluf Benn ( Haaretz) - traduit par le service de presse de l'Ambassade de France en Israël.
§ Les Etats-Unis ont rejeté une initiative européenne visant à réunir une conférence internationale pour une solution au conflit israélo-palestinien, et pour une reprise immédiate du processus politique parallèlement à des mesures sécuritaires en vue dun cessez-le-feu et de la lutte contre le terrorisme. (
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Autre alternative à lidée dune conférence internationale : Javier Solana a proposé de reprendre la proposition française de nouvelles élections dans les territoires, idée conjointe de la France et des dirigeants palestiniens. (
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Israël sopposerait à ces propositions, et selon des sources diplomatiques à Jérusalem, les propositions européennes risquent de diviser la communauté internationale et ne feront quencourager le terrorisme du dirigeant de lAutorité palestinienne, Yasser Arafat.
Ladministration américaine na pas accepté ces propositions. Ses membres ont déclaré à Solana et Moratinos quil faut se concentrer actuellement sur des questions sécuritaires uniquement, et exercer les pressions adéquates sur lAutorité palestinienne, qui nagit pas contre le terrorisme comme elle le devrait. (
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Malgré la fermeté américaine, les Européens nont pas renoncé, et vendredi, ils ont proposé de chapeauter une rencontre entre le ministre des Affaires étrangères, Shimon Pérès et le président du Conseil législatif palestinien, Abou Ala. (
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Selon des sources israéliennes, les Européens ont voulu faire savoir aux Etats-Unis par ce biais, que si les Américains naccroissaient pas leur implication, lEurope mènerait une politique indépendante et favoriserait les contacts diplomatiques sans lentremise américaine.
- Divisions au sein de lAutorité palestinienne autour de lidée daccord intérimaire proposée par Sharon
Aluf Benn ( Haaretz) - traduit par le service de presse de l'Ambassade de France en Israël.
° Le Premier ministre, Ariel Sharon, a présenté son plan aux dirigeants palestiniens mercredi dernier. (
) Sharon a voulu connaître les réactions palestiniennes à son plan, et a reçu des réponses variées. Le président du comité exécutif de lOLP, Abou Mazen, sest immédiatement opposé à lidée dun accord intérimaire et a exigé de réfléchir en vue dun accord-cadre. En revanche, le président du Conseil législatif palestinien, Abou Ala, a fait comprendre quil ne rejetait pas totalement lidée dun accord intérimaire. A lissue de la rencontre, les parties ont décidé de fixer les rencontres entre Sharon et la délégation palestinienne toutes les deux, trois semaines.
Les préparatifs en vue dune rencontre entre Sharon et les dirigeants palestiniens se sont déroulés par le biais de deux canaux. Selon des sources israéliennes, lentretien aurait été fixé par Omri Sharon, le fils du Premier ministre, et Mohammed Rashid, le conseiller économique et lun des proches dArafat. (
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Lautre canal est celui de lhomme daffaires Yossi Ginossar, lIsraélien le plus proche dArafat, qui était son contact sous les anciens gouvernements israéliens. (
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Une plaisanterie circule parmi les dirigeants palestiniens, selon laquelle depuis que lAutorité palestinienne a été décrétée entité terroriste, et Arafat hors jeu , les Israéliens multiplient les canaux de communication avec les Palestiniens : Sharon a Mohammed Rashid, par le biais de son fils, Omri ; le ministre des Affaires étrangères, Shimon Pérès, discute avec Abou Ala ; et le ministre de la défense, Binyamin Ben Eliezer, sentretient avec le chef de la sécurité préventive à Gaza, Mohammed Dahlan. Les trois sappuient sur Ginossar, qui doit sentretenir avec Ben-Eliezer mardi, avant le départ de celui-ci aux Etats-Unis. (
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Les milieux politiques israéliens attendent désormais le voyage de Sharon aux Etats-Unis, mercredi prochain, et ses entretiens jeudi avec le président Bush et son vice président, Dick Cheney. (
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Après le retour de Sharon, dimanche prochain, le conseiller du président égyptien, Oussama El-Baz, qui sest rendu secrètement aux Etats-Unis la semaine dernière, devrait venir en Israël. (
) Le président égyptien Hosni Moubarak devait adresser à Sharon un message amical par le biais de son conseiller, et un message de mise en garde à Arafat par lentremise dOmar Suleiman. Le programme a été changé hier, et El-Baz sest rendu à Paris pour une série dentretiens.
Mardi prochain, le médiateur du cessez-le-feu , Joschka Fischer, doit venir dans la région. Il rencontrera Sharon et Arafat.
Au sein du gouvernement, le président du Shass, Elie Yishaï, et le ministre de la Justice, Méir Shitrit [Kol Israël, 7 h : ainsi que Nathan Charansky et les ministres travaillistes
] ont exprimé leur soutien à la démarche du Premier ministre. Un des principaux opposants était le ministre du Tourisme, Béni Elon, qui a déclaré : Je considère la chose comme extrêmement grave. Le gouvernement a décrété en son temps que lAutorité palestinienne soutient le terrorisme. Cela ne saccorde pas du tout avec des rencontres avec les chefs qui soutiennent le terrorisme
- Des milieux gouvernementaux : Les Palestiniens sont prêts à envisager un règlement intérimaire sous certaines conditions
Ben Caspit, Elie Kamir + David Lipkin, envoyé spécial à la réunion de Davos à New York (Maariv) - traduit par le service de presse de l'Ambassade de France en Israël.
Des milieux gouvernementaux haut placés ont fait valoir hier que le Premier ministre, Ariel Sharon, a atteint son objectif principal dans sa rencontre avec les dirigeants palestiniens : il a prouvé quil désirait sérieusement parvenir à un accord intérimaire de longue durée. Selon ces milieux, pour la première fois depuis le début de lIntifada, on voit des signes que les Palestiniens envisageront, dans certaines conditions, la recherche dun règlement intérimaire. Ceci, à la condition que celui-ci comporte le démantèlement dimplantations juives (ce que le Premier ministre rejette impérativement, pour le moment). Entre-temps, Sharon a proposé à Abou Ala, Abou Mazen et Mohammed Rashid de poursuivre les rencontres au même niveau, toutes les 2 ou 3 semaines. Les Palestiniens ont accepté.
A la réunion du Conseil des ministres, hier, Sharon a recueilli le soutien de la majorité des ministres à sa rencontre avec les dirigeants palestiniens. Il leur a confié quil avait présenté à ses interlocuteurs 5 exigences : une véritable mise en arrestation des terroristes, leur interrogatoire et leur jugement ; le démantèlement des organisations terroristes, y compris le Tanzim et la Force 17 ; la collecte des armes illégales, qui seront remises aux Américains ; des actions très significatives de prévention des attentats ; et la cessation de la propagande de haine anti-israélienne.
Sharon a précisé que les Palestiniens ont exigé la cessation des éliminations ciblées ; la réouverture des axes de circulation ; la levée des bouclages ; une promesse ferme dIsraël quil ny aura plus dincursions en zone A ; et la liberté de mouvement pour Yasser Arafat. .
- (14:00 - heure d'Israël) Des Palestiniens tirent sur Gilo et sur Gadid
Les Palestiniens dans Beit Jala ont commencé à tirer sur Gilo il y a quelques minutes, a annoncé annonce le Correspondant du Jerusalem Post, Margot Dudkevich.
Les Palestiniens dans la Bande de Gaza ont commencé à tirer sur Gadid.
Aucun accident n'a été annoncé.
- (13:50- heure d'Israël) Le Hezbollah tire sur Kiryat Shmona
Le Hezbollah a commencé tirer des fusées antiaériennes près de la frontière libanaise il y a quelques minutes, a annoncé Kol Israël.
Il n'y a eu aucun accident.
- Shimon Peres : l'Iran a donné au Hezbollah 8.000 missiles qui peuvent frapper Israël
L'Iran a fourni aux terroristes du Hezbollah au Liban quelques 8.000 missiles capables d'atteindre les villes israéliennes, a dit le Ministre des Affaires Etrangères Shimon Peres dans une interview publiée lundi.
Peres est à New York pour le Forum Économique Mondial "Davos" il a dit à l' "International Herald Tribune" qul'Israël ne tolérerait pas d'attaque de missile depuis le territoire libanais.
"L'Iran a donné au Hezbollah une collection de 8.000 Katyusha des missiles avec une portée d'entre 20 et 70 kilomètres (12 et 45 milles) durant les six derniers mois et ces missiles sont une menace directe pour Israël," a-t-il dit.
Cette distance mettrait le port du nord de Haifa à la portée de missiles du Liban.
Peres a ajouté que "si le Hezbollah pense qu'il va tirer ces missiles sur Israël depuis le Liban, alors nous devons mettre en garde le Liban".
En citant les services de renseignement, Peres a aussi dit que la Corée du Nord avait fourni à l'Iran un missile à moyenne portée et que les deux pays coopéraient dans le développement d'un missile intercontinental avec une portée de 10.000 km (6,000 milles) qui pourraient menacer l'Amérique du Nord. "
Ses remarques font suite au Discours sur l'état de l'Union du président américain George W. Bush la semaine dernière dans lequel il avait dit que la Corée du Nord et l'Iran avait forgé "un axe du mal" ensemble avec l'Irak.
- Des Palestiniens dans l'explosion d'une voiture appartenaient au FDPLP
Le Front Démocratique pour la Libération de la Palestine a fait une déclaration dans la Bande de Gaza disant lque es quatre Palestiniens tués dans l'explosion d'une voiture ce matin était des membresdu FDPLP
Un cinquième membre du FDPLP est blessé d'une façon critique.
Des fusils Kalashnikov ont été trouvé à côté du véhicule, qui a fait explosé sur la route de Khan Yunis dans la Bande de Gaza, à environ 600 mètres du croisement de Sufa, vers 10h00. Le véhicule a complètement brûlé.
Bien que quelques Palestiniens aient accusé Israël d'avoir déclenché l'explosion, les fonctionnaires de sécurité palestiniens examinent si l'incident était "un accident de travail," annonce le Correspondant du Jerusalem Post, Margot Dudkevich.
Les membres du FDPLP devraient être sur le chemin pour effectuer une attaque terroriste quand leur bombe a éclaté prématurément.
Mohammed Abou Aram, un agriculteur, a déclaré qu'il avait entendu une explosion près de son champ. «J'ai trouvé une Subaru. Elle était complètement détruite et des restes de corps humain étaient éparpillés sur dix mètres autour de la voiture», a déclaré cet agriculteur âgé de 39 ans.
Des sources militaires israéliennes ont dit que les quatre n'étaient pas parmi les Palestiniens recherchés comme terroristes seniors ou comme personnes soupçonnées de liaisons avec l'activité terroriste.
- Attaque d'hélicoptères de combat dans la Bande de Gaza sur une usine soupçonnée d'être une fabrique de mortiers
Amos Harel, Correspondant d'Ha'aretz
Le tir de missile des hélicoptères de combat Apache la nuit dernière a visé une usine de ferronnerie soupçonnée d'être employée comme une usine de fabrication de mortiers dans le camp de réfugiés Jebalya dans la Bande de Gaza du nord.
Des sources palestiniennes ont dit ce matin que les installations avaient été lourdement endommagées, mais qu'il n'y avait aucun rapport d'accidents.
Tsahal a dit que l'opération était une réponse au tir de trois obus de mortier dans le secteur d'implantations du Gush Katif dans la Bande de Gaza plus tôt hier soir. Il n'y a eu aucune blessure dans le bombardement.
"En réponse au tir d'obus de mortier par les Palestiniens dans les quelques jours passés, Tsahal a visé un atelier de métallurgie dans Jabalya, dans la Bande de Gaza , au nord. Des sources militaires israéliennes ont dit plus tard que les installations étaient employées pour la fabrication d'obus de mortier.
Les fonctionnaires de sécurité palestiniens ont dit que deux hélicoptères ont tiré quatre à cinq missiles sur l'atelier, qui est parti en flammes
- Les mesures contre le terrorisme que Sharon demande vainement à Arafat
Sharon a dit que l'effort de 100 pour cent qu'il exige d'Arafat et de l'Autorité Palestinienne contre la terrorisme inclut un certain nombre de mesures :
- Arrestation, procès et jugements de tous les terroristes. ("Il n'y a personne dans les prisons," a dit le Premier ministre.)
- interrogatoire des terroristes.
- confisquation des armes.
- opérations préventives par l'AP contre les attaques terroristes.
- fin de l'incitation à la violence contre Israël.
- Sharon : prétendre que le Hamas va remplacer Arafat est exagéré
Par le Service de Ha'aretz
Le Premier Ministre Ariel Sharon a dit dimanche qu'il ne croyait pas que le Président de l'Autorité Palestinienne Yasser Arafat va êtreremplacé par l'organisation du Hamas.
"Ceux qui pense que le Hamas va remplacer Arafat se trompent," a-t-il dit pendant un interview sur la télévision - Canal Deux . "Les Palestiniens ne veulent pas du Hamas."
Il a dit que les affirmations que 70 pour cent des Palestiniens soutiennent le groupe musulman radical sont exagérées
- Les membres d'Al-Qaida essayeraieant de se regrouper au Liban
Douglas Davis - Jerusalem Post
Les Membres du réseau terroriste Al-Qaida chassés de l'Afghanistan cherchent à se regrouper et à établir leur base opérationnelle au Liban, selon des rapports en Europe reçus pendant le week-end.
Le "Times" de Londres a annoncé qu'un fonctionnaire Al-Qaida senior, identifié comme Salah Hajir de nationalité Yemenite, a voyagé à Beyrouth il y a deux semaines pour discuter la relocalisation avec des leaders du Hezbollah.
Il est aussi siganlé avoir rencontré des fonctionnaires d'Usbat al-Ansar, un mouvement de Sunnites extrémistes, basé au Liban. Un certain nombre de terroristes Usbat al-Ansar sont retourné au Liban il y a environ un mois après leur combat aux côtés des membres Al-Qaida en Afghanistan.
En même temps, le principal quotidien allemand , "Die Welt", a annoncé que le président de l'Autorité Palestinienne Yasser Arafat a offert 5,000 $ à chaque "combattant" d'Al-Qaida qui se prépare à se déplacer sur la Rive occidentale ou dans la Bande de Gaza.
Selon le papier, "80 à 100 cadres Al-Qaida ont jusqu'ici accepté l'offre d'Arafat, en ajoutant que les hommes sont actuellement basés au camp de réfugiés de Ein al-Hilwe à Sidon, où ils attendent pour passer en fraude dans les secteurs palestiniens.
Il a aussi annoncé que les Gardes Révolutionnaires iraniens, qui fonctionnent avec le Hezbollah au Liban, organisent le transfert secret d'agents Al-Qaida et de "combattants" au Liban et en Syrie. Il a ajouté que "l'argent saoudien" financent le transport des hommes, par avion et par mer.
Le Ministre américain de la Défense Nationale Donald Rumsfeld a semblé confirmer la présence de terroristes Al-Qaida au Liban quand il a déclaré mercredi dernier : "nous savons que l'Iran renvoie activement des terroristes par Damas dans la Vallée Bekaa, où ils reçoivent une formation comme terroristes, s'engagent ensuite dans des actions contre les pays de la région et d'ailleurs."
Des sources diplomatiques britanniques ont cherché à minimiser la probabilité d'une alliance entre les Sunnites d'Al-Qaida et le Hezbollah Chi'ite, mais les "Times" a noté que "il y a la preuve substantielle d'une alliance de travail entre les deux groupes datant du début des années 1990."
Dans un développement lié, Die Welt a annoncé que les hommes d'affaires Saoudiens ont subventionné le coût de l'opération du Karine A, qui était destinée à effectuer une livraison d'armes de l'Iran à l'Autorité Palestinienne.
En citant les évaluations des services de renseignement, le journal allemend dit que les Saoudiens - "parmi eux des membres de la famille royale et des services de renseignement Saoudiens" - ont payé 10 millions de $ à l'Iran pour les armes, 400,000 $ pour la location du navire et un nouveau 1 million de $ pour les frais portuaires.
Le journal ajoute que l'argent a été transféré via des organisations charitables Islamiques basées à Jeddah.