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- la liste des infos au jour le jour
Dimanche 11 novembre 2001 - 25 Heshvan 5762
- Un Israélien tué dans une attaque dans le centre d'Israël à Kfar Hess dans la nuit de dimanche à lundi
Par Amos Harel et Baruch Kra, Correspondants d'Ha'aretz
Un Israélien a été tué et une autre blessé dans une attaque à l'arme à feu dans la communauté de Kfar Hess dimanche soir. Kfar Hess est placé dans le centre du pays à environ 10 kilomètres au nord de Kfar Sava et 20 kilomètres au nord-ouest de la ville palestinienne de Qalqilyah dans la Rive occidentale.
Selon des rapports initiaux, l'officier chargé de la sécurité dans le secteur, Aharon Usishkin, avait été appelé à l'entrée de la communauté pour examiner un homme suspect. Comme il arrivait l'homme a ouvert le feu sur lui et sur un véhicule contenant deux autres personnes, avant de s'enfuir dans les champs environnants.
Usishkin, 50 ans, a été mortellement blessé et est mort sur le chemin de l'hôpital. Il était père de trois enfants et avait servi comme officier chargé de la sécurité pendant les dix mois passés.
La police croit que le motif de l'attaque estt nationaliste, disant que le palestinien armé avait laissé une note derrière lui revendiquant les coups de feu comme une attaque de vengeance.
L'homme blessé a été pris à l'Hôpital Meir dans Kfar Sava. Un grand nombre de policiers fouillent actuellement le secteur et ont érigé des barrages routiers.
- Le nouveau "membre" du Conseil de Sécurité , la Syrie s'exprime sur un nouveau concept de propagande : le terrorisme israélien
« Saisissant l'occasion du début des travaux de la 56ème session de l'Assemblée générale des Nations Unies, le journal syrien al-Baas appelle l'organisation internationale à définir le terrorisme et à le distinguer de la lutte légitime des peuples contre l'occupation.
Le journal appelle l'ONU à mettre le dossier du terrorisme israélien à la tête de l'ordre du jour de son actuelle session d'autant qu'Israël représente en effet le foyer du terrorisme.
Quant au journal syrien Tichrine, il appelle les Etats-Unis à honorer leurs promesses de relancer le processus de paix sur la base de la conférence de Madrid et à brider le terrorisme israélien.
Tichrine s'étonne comment peut-on exiger des Arabes de participer à une campagne contre le terrorisme, qui exempte le terrorisme israélien qui les frappes sans cesse, et s'interroge sur la fiabilité d'une campagne qui épargne les terroristes israéliens et prend leurs victimes pour terroristes.
"Les pays arabes ont condamné les attaques de 11 septembre et affirmé leur disposition à contribuer à la campagne internationale contre le terrorisme à condition que cette campagne soit sous l'égide de l'ONU et contre toutes les formes de terrorisme, dont en particulier le terrorisme israélien", rappelle le journal qui affirme, enfin, que les Arabes attendent une position américaine décisive à l'égard du terrorisme israélien et de la ranimation du processus de paix au Moyen-Orient. »
Abdallah al-Ahmar, secrétaire général adjoint du Parti Baas Arabe Socialiste syrien, a a critiqué, à cet effet, les pratiques terroristes exercées par Israël contre le peuple palestinien désarmé et ses tentatives de vider le processus de paix de son contenu et de se dérober aux résolutions de la légalité internationale.
Dans la lignée de ces déclaration on peut relever que « M.Ghassan al-Lahham, maire de Damas, a reçu hier soir Mme Jane McFerson, présidente du département du Moyen-Orient de la Banque Européenne d'Investissement.
Les deux parties ont examiné la coopération bilatérale et le financement par la banque des projets industriels et de service à Damas. »
On peut aussi relever aussi que « M.Makhoul Abou Hamda, ministre d'Etat pour les affaires du Croissant-Rouge, a reçu aujourd'hui M.Paul Grosrider, directeur général du comité international de la Croix-Rouge.
L'entretien a porté sur le renforcement et le développement des relations de coopération bilatérale dans tous les domaines et le soutien du peuple palestinien désarmé qui fait le cible du terrorisme d'Etat et de la politique de tuerie et de destruction d'Israël. »
A New York, où il s'exprimait devant l'Assemblée générale de l'ONU, Arafat s'est exprimé lui aussi sur le nouveau concept de propagande, il a appelé la communauté internationale à empêcher le "terrorisme d'Etat" d'Israël, demandant une nouvelle fois "l'envoi d'observateurs internationaux pour protéger notre peuple de l'occupation, de la terreur et du nettoyage ethnique pratiqués par Israël".
Yasser Arafat, qui avait rencontré le secrétaire général de l'ONU Kofi Annan dans la matinée, a été salué après son discours par des dizaines de dirigeants du monde présents à New York pour l'ouverture de l'assemblée générale des Nations unies. Celle-ci a réservé un accueil plus chaleureux dimanche au dirigeant palestinien que samedi au président américain.
- Les États-Unis ont décidé dimposer de nouvelles règles pour les demandes de visas émanant de 25 pays, majoritairement musulmans, dont le Liban, prévoyant une période dattente de 20 jours et un questionnaire détaillé, ont indiqué hier de hauts responsables du département dÉtat.
À partir de la semaine prochaine, les consulats et ambassades américains dans 25 pays enverront les noms des demandeurs de visas masculins âgés de 16 à 45 ans au FBI (police fédérale) qui les vérifiera dans ses banques de données et aura 20 jours pour donner sa réponse, avant que la demande ne soit traitée. Tous les demandeurs auront aussi à remplir un questionnaire détaillé sur leur passé militaire, leur entraînement au maniement des armes, leurs voyages et sur le fait de savoir sils ont jamais perdu leur passeport, a indiqué ce responsable sous le couvert de lanonymat.
Cette période dattente allongée pourrait nêtre que temporaire, a insisté un autre responsable, rejetant par ailleurs lidée quelle puisse contredire laffirmation américaine que la guerre contre le terrorisme nétait pas dirigée contre les musulmans. «Pendant une période intérimaire, jusquà ce que toutes nos bases de données soient connectées, il faudra peut-être plus de temps pour les demandes de visa de demandeurs dans certains endroits, avec certaines caractéristiques», a-t-il ajouté. Ces nouvelles mesures interviennent dans le cadre du resserrement de la politique dattribution des visas après les attentats du 11 septembre aux États-Unis. Certains des auteurs de ces attentats étaient entrés légalement aux États-Unis.
Les pays concernés par ces mesures sont lAfghanistan, lAlgérie, Bahreïn, Djibouti, lÉgypte, lÉrythrée, lIndonésie, lIran, lIrak, la Jordanie, le Koweït, le Liban, la Libye, la Malaisie, le Maroc, Oman, le Pakistan, Qatar, lArabie séoudite, la Somalie, le Soudan, la Syrie, la Tunisie, les Émirats arabes unis et le Yémen.
- Le Roi Abdullah II : les Arabes doivent garantir la sécurité d'Israël
Le monde arabe doit être préparé à offrir une garantie collective pour la sécurité d'Israël et son intégration dans le Moyen-Orient en échange de l'installation d'un état palestinien, a dit hier au "Tmies" le Roi Abdullah de Jordanie .
Avec un accord qui maintenant doit être discuté par les parties internationales principales, cela offrirait à Israël pour la première fois une garantie de sa propre existence et de sa sécurité par tous les pays du Golfe au Maroc.
Selon ce plan, "les pays arabes feraient une déclaration garantissant la sécurité d'Israël," a-t-il dit.
- Aprés le tir de mortiers sur le terminal de Rafah, Israël le ferme (Qui sème le vent récolte la tempête
)
Tsahal a annoncé dimanche que des Palestiniens avaient tiré à l'aube deux obus de mortier sur le terminal, sans faire de blessé.
Israël a donc fermé pour une durée indéterminée et dans les deux sens ce terminal de Rafah, entre l'Egypte et la bande de Gaza, bloquant près de 700 Palestiniens côté égyptien, La fermeture concerne les personnes et les marchandises, a précisé le responsable égyptien, affirmant qu'"Israël, qui faisait généralement exception pour des cas humanitaires, a refusé l'entrée à Gaza de la dépouille d'un Palestinien décédé en Egypte". Près de 700 Palestiniens sont bloqués à la frontière et ne peuvent regagner leurs foyers.
Des témoins palestiniens, arrivés en Egypte avant la fermeture du terminal, ont affirmé qu'il y avait une "quasi-occupation israélienne" du poste et que les autorités israéliennes avaient "renvoyé la majorité des responsables palestiniens du terminal, qui a été proclamé zone militaire".
Environ 1.200 Palestiniens avaient été retenus la semaine dernière pendant plusieurs jours au terminal, Israël ayant décidé de limiter les passages.
Rafah est une ville frontalière divisée en deux parties, l'une en territoire égyptien et l'autre dans la bande de Gaza. Israël, gère le terminal conformément aux accords d'Oslo sur l'autonomie palestinienne, qui ne prévoit cependant pas les tirs de mortiers de ce matin sur le terminal.
- Le Ministre Danny Naveh a été visé par un terroriste-suicide
Vers la fin de la semaine dernière, le Ministre Danny Naveh a été évacué avec sa famille de leur domicile après qu'il soit devenu clair qu'un terroriste-suicide palestinien le visait lui et ses enfants.
L'information du renseignement a indiqué que le terroriste avait eu l'intention de frapper Naveh, ministre sans portefeuille, quand il quitte sa maison tôt le matin pour conduire ses enfants à l'école, a annoncé la Radio de l'armée.
- Une bombe a éclatée à Bethléem en début d'après-midi, tuant Omar Abu Zeid, un membre du Jihad Islamique.
Omar Abou Zayed, 25 ans assemblait le dispositif dans sa maison quand il a inopinément explosé.Il était en train de fabriquer la bombe dans sa serrurerie du quartier de Doha en face du camp de réfugiés de Deheishe lorsque l'engin a explosé, selon des responsables de la sécurité palestinienne.
Omar Abou Zayed était un membre connu du Djihad Islamique, mouvement terroriste palestinien qui a revendiqué de nombreux attentats contre les Israéliens.
- Un palestinien de 25 ans a été abattu à Bethléem cet après-midi.
Il était soupçonné de colaborer avec Israël, ont dit des sources palestiniennes, selon la Radio de l'armée.
- Le Ministre de Coopération International et de la Planification de l'Autorité Palestinienne Nabil Shaath a reconnu vendredi que l'AP n'avait probablement "pas toujours" arrêté tous les militants palestiniens qu'elle avait prétendu avoir arrêté.
"Les Israéliens disent que les Palestiniens n'arrêtent pas les gens ils disent qu'ils les ont été arrêté.
Et de citer quelques exemples. Et ces quelques exemples sont probablement vrais, " a dit Shaath au "Brookings Institute".
- Bush : les sponsors du terrorisme payeront
Melissa Radler - Jerusalem Post
Forte envie de tous les Etats membres de l'ONU de se battre avec terrorisme, le Président américain George W. Bush a dit à l'Assemblée Générale de l'ONU hier que le temps est venu pour les nations de dénicher les terroristes de leur milieu ou de faire face aux conséquences.
"Pour chaque régime qui patronne la terrorisme, il y a un prix à payé et il sera payé," Bush a dit à la réunion des 189 membres dans le débat annuel de l'assemblée, qui avait été remis pendant sept semaines en raison des attaques du 11 septembre sur New York et Washington.
"Le temps de l'action est maintenant arrivé," a dit Bush dans son apparition inaugurale devant l'assemblée. Les nations qui soutiennent le terrorisme "sont également coupables de meurtre et également responsables devant la justice." Le conflit Israélo-palestinien a pris un "backseat" dans le discours de 22 minutes de Bush, avec juste trois phrases consacrées au sujet et aucun signe de ce que les fonctionnaires palestiniens avaint espéré sur un plan renforcé des Etats-Unis pour la structure d'un Etat palestinien.
"Le gouvernement américain a aussi des positions selon son obligation pour une juste paix au Moyen-Orient," a dit Bush près de la fin de son discours. "Nous travaillons vers le jour où deux états - Israël et la Palestine - viveront paisiblement ensemble dans des frontières sûres et reconnues comme recommandé par des résolutions du Conseil de sécurité. Nous faisons tout que nous pouvons pour amener les parties à la table de négotiations, mais la paix viendra seulement quand tous auront rejeté, pour toujours, l'incitation à la violence et le terrorisme."
Le ministre des Affaires Etrangères Shimon Peres est parti pour les Etats-Unis hier dans la nuit pour s'adresser à l'assemblée générale des Nations unies et aussi à l'assemblée générale des Communautés Juives Unies, après consultation avec le Premier Ministre Ariel Sharon dans sa ferme pour coordonner les stratégies et la politique.
Les sources auprès du Premier ministre ont dit que Sharon a donné à Peres des instructions claires pour rester dans la ligne de la politique du gouvernement, après que le ministre des Affaires Etrangères ait suggéré pendant le week-end dans les médias Suédois qu'Israël puisse reconnaître un état palestinien avant des négociations sur ses frontières.
Dans un interview avec la station de radion officielle Suédoise, Peres a dit vendredi que l'idée, du président du Conseil Législatif palestinien Ahmed Qurei, de déclarer un état palestinien avant des pourparlers de paix commençait à être "intéressante".
"Peut-être que la meilleure chose à rouvrir dans les négociations est la déclaration d'un état palestinien, peut-être. Je veux le vérifier, je ne le rejette pas immédiatement," a été cité Peres avec l'annonce que. "Je pense que c'était l'idée d'Abu Ala [Qurei]. C'est une idée intéressante. Je veux bien y réfléchir."
Un conseiller de Sharon a dit que Peres avait plu au Premier ministre au commencement de son voyage en Europe, quand il s'est abstenu d'avoir des pourparlers avec le Président de l'Autorité Palestinienne Yasser Arafat et avait invité le Ministre des Affaires Etrangères syrien Farouk Shara à rendre les corps des soldats enlevés par Hezbollah, mais que le ministre des Affaires Etrangères avait dévié de la ligne du gouvernement dans l'interview en Suède.
"Quoi que Peres dira sera conforme à la politique du gouvernement," a dit le Porte-parole de Sharon Ra'anan Gissin. "Les négociations suivront les processus Tenet et Mitchell . Il y aura un état seulement après la fin de l'incitation à la violence et du terrorisme"
Quand Peres rencontrera le Secrétaire d'Etat américain Colin Powell demain, on s'attend à ce que Powell le mette au courant sur son discours attendu depuis longtemps à l'ONU. Malgré les rapports précédents que Powell détailleraient un plan diplomatique dans son discours, Sharon a été assuré que Powell décrira seulement des plans pour l'avenir dans un sens général.
Le conseiller de Sharon a dit que le Premier ministre a probablement dit à Peres de souligner dans son discours à l'ONU que, même si les initiatives américaines et européennes sur la fin du conflit avec les Palestiniens sont appréciées, en fin de compte c'est le plan que Sharon et Peres formuleront qui sera la lignes directrice t suivie.
Sharon doit mettre au courant le cabinet aujourd'hui sur sa réunion avec Peres, des événements dans la situation de sécurité et des questions liées à la sécurité des ministres.
Quoique Bush ait exclu une réunion avec Arafat à New York, Powell a dit à CNN vendredi qu'il essayait d'arranger une réunion avec Arafat pour discuter des négociations de paix.
Powell a dit qu'Israël doit rouvrir ses frontières aux ouvriers palestiniens - elles ont été fermés pour essayer de filtrer les terroristes-suicide - et il a pressé Arafat d'amener la violence "au point zéro." Arafat est prévu pour s'adresser à l'assemblée cette après-midi et Peres jeudi.
Bush a consacré la plupart de son discours à l'étaiement de l'appui international pour la guerre menée par les Etat-Unis contre les Taliban et Osama Ben Laden - qui, il a dit essayent d'acquérir les armes de destruction massive - assurant les pays Musulmans que l'Islam ne sont pas attaqués et s'adressant à toutes les nations pour tenir ferme contre le terrorisme.
"Dans ce monde il y a de bonnes causes et des mauvaises, et nous pouvons n'être pas d'accord sur la ligne qui se dessine qu'il peut y avoir un bon terroriste," a dit Bush. "Aucune aspiration nationale, aucun faux souvenir ne peut jamais justifier le meurtre délibéré de l'innocent. N'importe quel gouvernement qui rejette ce principe, essayant de faire le difficile ses amis terroristes, en connaîtra les conséquences," a-t-il dit.
Bush a aussi averti certains gouvernements, qui, il a dit "ferment les yeux sur le terrorisme," et des Etats membres de l'ONU qui ont "ont gagné le gros lot avec les terroristes. Ils les soutiennent et les hébergent et ils constateront que leurs invités accueillis sont des parasites qui les affaibliront et les détruirons finalement," a-t-il dit.
"Les alliés du terrorisme sont également coupables de meurtre et également responsables devant la justice," a-t-il dit.
Les Etats-Unis n'oublieront jamais les attaques des "Twin Towers" et aucun ne doit dans le reste du monde,a dit Bush. Il a répété son affirmation précédente que les agents secrets de Ben Laden recherchent des armes biologiques, nucléaires ou chimiques, avec l'intention de les utiliser "au moment où ils en seront capables." "Chaque pays est une cible potentielle,"a dit Bush .
"Cette menace ne peut pas être ignorée... On menace la civilisation elle-même, la civilisation que nous partageons. L'histoire retiendra notre réponse et jugera ou justifiera chaque nation dans ce hall." Bush n'a pas nommé de nations, mais les conseillers avaient dit que ses mots étaient adressés au Liban, la Syrie, l'Iran et d'autres pays dont l'action vis à vis de l'effort anti-terroriste est sous surveillance.
En déclarant la pauvreté, la maladie, la dégradation environnementale et la guerre, comme les ennemis du 21e siècle, le Secrétaire général de l'ONU Kofi Annan a fait appel aux leaders mondiaux pour ne pas faire que le terrorisme les éclipse.
"On a l'envie de dire que nous devons maintenant concentrer toutes nos énergies sur la lutte contre le terrorisme et sur les questions directement liées," a-t-il dit à l'Assemblée Générale. "Encore si nous ne faisons ainsi nous donneront une sorte de victoire aux terroristes." Environ 40 leaders mondiaux sont prévus pour aparler dans le débat général annuel de l'Assemblée Générale.
Vendredi, le jour avant que la réunion ait commencé, l'Organisation des 57 membres de la Conférence Islamique a bloqué la signature d'un traité international sur le terrorisme, exigeant que les groupes terroristes anti-Israël - qu'ils se définissent comme "des mouvements nationaux de libération" - soient exemptés du traité.
Les fonctionnaires de l'ONU, qui ont été forcés de remettre les discussions sur le traité jusqu'au 19 novembre, avaient à l'origine projeté la présentation du traité aux leaders mondiaux dans le débat de l'Assemblée Générale comme la preuve de leur résolution sur la question.
( Gil Hoffman a contribué à ce rapport.)